Etude sur les européens et la voiture électrique

Selon une étude réalisée par le cabinet Harris Interactive, et EurotaxGlass, les consommateurs européens sont de plus en plus intéressés par l'acquisition d'un véhicule électrique ou hybride. 30 % des sondés montrent un intérêt pour les véhicules électriques et hybrides. Les intentions d'achat sont plus élevées en France (30%) et en Espagne (22%). 15 % pensent à Toyota lorsqu'on leur demande de citer une marque électrique ou hybride. Toyota est suivi par Honda (6%), Renault, Peugeot, Mercedes et BMW (tous à 3 %). La raison principale d'achat est l'aspect environnemental. Une majorité accepteraient de payer 10 % de plus qu'un véhicule thermique pour l'acquisition d'un véhicule électrique ou hybride. 20 % seraient prêts à payer 25 % plus cher. Cette enquête a été menée en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne et en Angleterre.

Un Livre Vert pour développer les infrastructures de recharge publiques

Attendu depuis octobre 2010, le Livre Vert, rédigé par Louis Nègre, sénateur UMP des Alpes-Maritimes sur les infrastructures de recharge publiques des véhicules ''décarbonés'' a été publié le27 avril. Il a été remis aux ministres de l'Ecologie et de l'Energie et au secrétaire d'Etat au Transports. Ce rapport entend favoriser le déploiement des infrastructures de recharges sur la voie publique et accompagner la mise sur le marché des véhicules d'ici 2012 en France. 60.000 voitures tout électriques devraient ainsi être vendues par les deux constructeurs Renault et PSA, rappelle le texte. Le Livre Vert se veut ''un guide'' pour les collectivités qui voudront déployer ce type de bornes et atteindre les objectifs du gouvernement. Soit 75.000 bornes publiques (parkings, centres commerciaux, voiries…) dès 2015 puis 400.000 en 2020. En savoir plus sur le site de l’avem.

Etude sur la mobilité dans les villes moyennes

Cette étude réalisée par le CERTU, centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques, révèle les différences de mobilité entre les villes moyennes, en particulier d’usage des modes de transport.  À mobilité équivalente, un résident des villes moyennes étudiées fait en moyenne un demi-déplacement en voiture de plus qu’un résident d’une grande agglomération. La densité démographique plus faible et l’offre alternative moins développée expliquent cette spécificité. Pour le reste, peu de différences significatives par rapport aux grandes agglomérations. Hormis le rapport plus étroit à l’automobile, la mobilité en ville moyenne ressemble à la mobilité en grande agglomération. En savoir plus sur le site du CERTU. 

138 millions de deux roues électriques sur les routes en 2017 ?

Selon une étude publiée par Pike Research - spécialisé en études sur les transports non polluants et les énergies renouvelables - le nombre des motos et scooters électriques en circulation dans le monde devrait exploser d'ici 2017. Pike Research affirme qu'il pourrait y avoir 138 millions de deux roues électriques sur les routes en 2017, soit huit fois plus que les 17 millions en circulation aujourd'hui. L'Asie, qui compte déjà de nombreux deux roues électriques en circulation, sera le marché dominant et détiendra 98 % des parts de marché. Voir l’étude 

Ora-ïto imagine la voiture de demain

Le designer français Ora-ïto collabore avec Citroën et propose le concept-car « Evo-mobil » imaginé sur la base de « mutations génétiques ». Entre art contemporain, hypothèses et visions futuristes, l’artiste iconoclaste a travaillé sur les codes, l’ADN et la philosophie de l’industrie automobile. Cette création est une réflexion sur l’évolution de la mobilité. A voir sur le site .www.ora-ito.com

Des voitures électriques en auto partage à Amsterdam

D'ici fin 2011, 300 Smart électriques devraient investir les rues d'Amsterdam où elles seront proposées en auto-partage. Le groupe automobile allemand Daimler, propriétaire de Mercedes-Benz et de la marque Smart, va mettre en place un service de location de voitures électriques appelé Car2go. Déjà actif en Allemagne, dans les villes d'Ulm et de Hambourg, et à Austin au Texas (États-Unis), le système Car2go permet aux conducteurs de louer des voitures grâce à un abonnement mensuel, puis l'utilisation du véhicule est facturée à l'heure. Le  service Car2Go compte plus de 35.000 membres et utilisait jusqu'ici des véhicules thermiques. À Amsterdam, Car2go deviendra 100 % électrique.

Combien de voitures électriques au premier trimestre 2011?

Avec l'arrivée de l'offre des grands constructeurs, les voitures électriques commencent à arriver  sur le marché.  avec 484 immatriculations enregistrées au premier trimestre 2011. 

Le site de l'AVEM dresse le détail de ces ventes :  PSA s'affiche comme leader avec plus de 60 % de parts de marché. Un score qui s'explique d'une part par l'équipement des concessionnaires en véhicules de démonstration mais aussi grâce aux appels d'offres remportés par le groupe (Auto Bleue à Nice...) Le groupe français est suivi par le constructeur norvégien Think qui a enregistré 102 immatriculations au mois de février pour la Think City. Des véhicules qui ont équipé les centres Norauto. Vient ensuite la Renault influence (38 immatriculations) qui n'est pas encore commercialisée mais dont les premiers exemplaires font l'objet d'essais, notamment dans le cadre du projet SAVE.

Les mobilités de demain passent par l'Internet du Futur

La Commission Européenne lance une action spécifique "Future Internet Public Private Partnership", intégré dans un programme plus général Future Internet, avec notamment un projet, Instant Mobility piloté par THALES et ORANGE, directement lié à la Mobilité des biens et des personnes utilisant des briques de l'Internet du Futur. En savoir plus sur le site les transports du futur.

Un service d’auto-partage 100 % électrique à Nice

Alors que  Paris attend son Autolib’, la ville de Nice se dote d’un service d’auto-partage. Baptisé Autobleue, il se compose de 41 Peugeot iOn et d’une dizaine de Citroën Berlingo First électriques. Le service propose une location où la voiture doit être ramenée à la station de départ, (contrairement au futur Autolib'). Autobleue s’articule autour de 16 stations. En 2012, ce sont 70 stations qui seront réparties dans l'agglomération et 210 voitures proposées. Les frais d’inscription s’élèvent à 25 euros, payables une seule fois. Les utilisateurs ont ensuite le choix entre une formule d’abonnement (50 euros par mois pour 10 heures de location) ou une facturation à l’heure (8 euros), à la demi-journée (20 euros) ou à la journée (50 euros).

L’Europe pour les réseaux intelligents

La Commission européenne publie "Réseaux intelligents : de l’innovation au déploiement" présentant des mesures à mettre en place pour le développement des réseaux électriques intelligents à l’échelle européenne. Selon la commission,  les réseaux intelligents ont un grand potentiel de réduction de l'impact environnemental du secteur énergétique grâce à la fois à l'intégration des volumes importants d'énergie renouvelable dans le réseau de distribution et aux économies d'énergies (9% d'ici 2020) dues à la meilleur gestion de la consommation. Plus d’informations sur le site EUROSFAIRE, site de la Recherche en Europe.

Québec : un plan d'action pour les véhicules électriques

Le gouvernement du Québec a présenté un ambitieux plan de promotion des véhicules électriques. Son objectif est qu’une voiture neuve sur quatre vendue dans la province francophone canadienne en 2020 soit électrique. « Nous ferons du Québec une société à l’avant-garde de la mobilité durable en Amérique du Nord grâce à l’utilisation de l’hydroélectricité », déclare Jean Charest, Premier ministre du Québec. 

Plus d'informations sir le site : vehiculeselectriques.gouv.qc.ca

Smart Grids : quel modèle économique ?

Domaine encore largement prospectif, les réseaux électriques intelligents ne pourront se développer et assurer leur pérennité qu’en s’appuyant sur des modèles économiques viables. Si le déploiement des nouvelles technologies de l’information et de la communication au sein des réseaux électriques permet de moderniser ces réseaux pour gagner en efficacité, il est également un moyen privilégié d’atteindre les objectifs de réductions des émissions de CO₂. 

Dossier complet sur  les questions auxquelles font face les acteurs des réseaux intelligents et pistes de réflexion sur l’élaboration de ces modèles sur le site :

smartgrids-cre .

Projet SAVE : C'est parti pour la plus grande expérimenation de véhicule électrique en France

Le projet a débuté le 07 avril 2011.  Le projet Seine Aval Véhicule Électrique va déployer une centaine de véhicules électriques et plus de 200 points de charge pour une expérimentation à grande échelle, le Ce  projet SAVE est porté par l’Alliance Renault Nissan et EDF, appuyé par la Région Ile de France, le Conseil Général des Yvelines et l’EPAMSA (l’Établissement Public d’Aménagement du Mantois Seine Aval), en collaboration avec Schneider Electric et Total. 

Cette première phase du déploiement opérationnel de l’expérimentation  déroulera jusqu'en  juillet 2012.

 

L’Alliance Renault-Nissan fournit les véhicules électriques, pilote l’expérimentation et étudiera les usages clients et les services associés, notamment ceux liés à la communication embarquée et débarquée.

EDF participe au déploiement de l’infrastructure de charge, à l’analyse des comportements des utilisateurs vis-à-vis de la charge, ainsi qu’à l’expérimentation des modèles économiques. 

Schneider Electric contribue à la réalisation des infrastructures de charge et aux dispositifs de gestion de l'énergie associés. 

Total installera des points de charge rapide dans deux de ses stations service. 

L’EPAMSA (Etablissement Public d’Aménagement du Mantois Seine Aval) coordonne le partenariat

technique et financier impliquant l’ensemble des acteurs publics et privés. 

L’ADEME participe financièrement via le fonds démonstrateur pour l’AMI « projet de démonstrateur
en nouvelle technologie de l’énergie » et accompagnera les études bilan carbone de SAVE.

Le Conseil Général des Yvelines participe au comité de pilotage et sera également utilisateur de Véhicules Électriques.  La Région Ile de France est membre du comité de Pilotage.

SAVE a pour objectif d'expérimenter les modèles d’affaire des véhicules électriques et des infrastructures de charge, d'obtenir des informations sur les usages des conducteurs et connaître leur appréciation des véhicules et des systèmes de recharge, de  tester les services associés : services connectés, services après-vente etc…, et de confirmer le bilan CO2 du véhicule électrique.

L’analyse des retours d’expérience du projet servira au déploiement des infrastructures de charge publiques et privées à venir.

Etude Eurobaromètre : les européens et la mobilité

L’enquête Eurobaromètre  réalisée dans les 27 États membres de l'Union européenne révèle entre autres que les deux tiers environ des automobilistes pourraient accepter que la vitesse de leur véhicule soit limitée pour réduire les émissions.  En outre, la majorité des automobilistes (53 %) se sont prononcés en faveur de la substitution des taxes actuelles sur les véhicules par de nouveaux systèmes de tarification fondés sur l'utilisation réelle. 

Le sondage a été réalisé dans les 27 États membres auprès de 25 570 personnes, à la demande de la direction générale de la mobilité et des transports de la Commission européenne.

Compromis à faire pour rouler plus vert

La majorité des automobilistes interrogés (66 %) ont indiqué qu'ils pourraient faire des compromis sur la taille de leur voiture pour réduire les émissions et 62 % sont allés dans le même sens en ce qui concerne la distance réalisable avec un plein ou une recharge. Plus de la moitié des répondants (60 %) seraient en outre prêts à payer davantage pour leur véhicule si cela aidait à réduire les émissions.

Raisons d'opter pour la voiture

Une vaste majorité des usagers de l'automobile (71 %) ont indiqué que prendre les transports publics n'est pas aussi pratique que rouler en voiture. Le même pourcentage ou presque (72 %) a déclaré avoir arrêté de prendre les transports publics à cause de l'insuffisance des connexions (49 % d'entre eux ont désigné ce motif comme un facteur "très important"). Les fréquences de circulation trop faibles et le manque de fiabilité des transports publics constituent des raisons importantes pour 64 % et 54 % des usagers de l'automobile, respectivement.

Encourager les automobilistes à combiner les autres modes de transport

Les personnes qui utilisent la voiture tous les jours devaient indiquer ce qui les pousserait à utiliser également d'autres modes de transport. Presque les deux tiers (UE : 65 %, LU : 72 %) ont déclaré qu'ils envisageraient de le faire s'il était plus facile de passer d'un mode de transport à l'autre, 52 % s'ils disposaient de meilleures informations (en ligne) sur les horaires, 47 % si les stations et arrêts étaient mieux aménagés et 38 % s'il était possible d'acheter les tickets en ligne.

Un fort intérêt pour le ticket unique valable pour tous les moyens de transport

Près des trois quarts des Européens (71 %)  envisageraient d'utiliser les transports publics plus fréquemment s'il était possible d'acheter un seul ticket valable pour tous les modes de transport public; les automobilistes soutiennent également fortement cette possibilité pour 66 % d’entre eux dans l’UE. 

Voyages 2.0 et mobilités longues distances

le Sétra, service technique du Ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement  intervient dans le domaine de la route, des ouvrages d’art et des transports.  Ses études montrent à quel point les comportements changent. Sous contraintes économiques, chaque individu cherche à maximiser l’usage de son temps en utilisant au mieux les différents modes de transports. Ces évolutions tendancielles observées sur plusieurs années s’accélèrent sous plusieurs facteurs.  Quelles conséquences auront ces changements sur la mobilité longue distance ? que deviendra le voyage 2.0 ? Pour en savoir plus, voir l'article du blog les transport du futur, consacré à ce sujet.

Projet Green eMotion : l'Europe finance la mobilité électrique

 La Commission met 24,2 millions d'euros sur la table pour le développement de l'électromobilité en Europe. Elle apporte  son soutien à une initiative paneuropéenne d'électromobilité, Green eMotion, d'un montant de 41,8 millions d'euros, à laquelle participent 42 autres partenaires: entreprises spécialisées, compagnies électriques, constructeurs de voitures électriques, municipalités, universités et instituts technologiques et de recherche.

Le projet Green eMotion, qui se déroule sur quatre ans, fait partie de l'initiative européenne «Voitures vertes», et sera financé par le septième programme-cadre de recherche et de développement. Ses objectifs sont de

• comparer les douze initiatives régionales et nationales d'électromobilité en cours, qui se déroulent dans 8 pays de l'UE différents;
• comparer les différentes approches technologiques;
• déterminer quelles sont les meilleures solutions pour le marché européen.

Le projet couvre différents types de véhicules électriques, le développement de réseaux intelligents, les solutions innovantes recourant aux technologies de l'information et les concepts de mobilité urbaine.

Une plateforme interopérable sera créée. Celle-ci permettra une interaction entre les différents acteurs et la mise en place de nouveaux services de transport à forte valeur ajoutée ainsi que de systèmes de facturation innovants. Elle contribuera à l'amélioration des normes d'électromobilité existantes, et au développement de nouvelles normes. Green eMotion fera la démonstration de ce cadre interopérable d'électromobilité dans toutes les régions participantes, jetant les bases de son déploiement dans le reste de l'Europe. En savoir plus.

L'Europe dévoile sa feuille de route 2050

Le livre blanc  "Transports 2050" publié par la  commission européenne vise à mettre en place un système de transport compétitif qui favoriserait la mobilité. Des propositions qui réduiraient considérablement la dépendance de l'Europe à l'égard des importations de pétrole et feraient baisser de 60 % ses émissions de carbone liées aux transports d'ici à 2050.

Pour y parvenir, l'Europe devrait transformer son système de transport actuel. Les principaux objectifs à atteindre d'ici à 2050 sont les suivants:

• supprimer les véhicules à carburant traditionnel dans les villes;
• porter à 40 % la part des carburants durables à faible teneur en carbone dans l'aviation et réduire d'au moins 40 % les émissions dues au transport maritime;
• faire en sorte que 50 % du transport routier de passagers et de fret sur moyenne distance s'effectue par voie ferrée et par voie navigable;
• obtenir, grâce à ces mesures notamment, une réduction de 60 % des émissions liées aux transports d'ici le milieu du siècle.

Semaine du Développement durable

La semaine du Développement durable (1er au 7 avril) fait la part belle à la mobilité durable. 

Nouveau service, nouvelle technologie et nouvelle expérimentation, petit tour d'horizon  des initiatives lancées pour rendre les déplacements en voiture plus écologiques.

L'auto-partage en plein essor
Très en vogue aux Etats-Unis et dans plusieurs pays européens notamment en Scandinavie, l'auto-partage se développe en France. Calquée sur le modèle du Vélib', la location de vélo en libre service dans la capitale, ce concept de voiture à la carte propose aux automobilistes occasionnels d'emprunter une voiture pour quelques heures, afin de faire leurs courses, rapporter un meuble, se rendre à un dîner ou partir au vert un après-midi, le tout à des tarifs très attractifs. On compte des réseaux d'auto-partage dans plusieurs grandes villes de province, comme Lyon, Marseille, Nantes, Lille ou Strasbourg. Trois grandes sociétés proposent ce type de service, à savoir la Caisse Commune, la plus ancienne, Mobizen, et Okigo, société commune à Avis et Vinci Park. Paris se dotera à l'automne prochain d'un système d'auto-partage constitué d'une flotte de 3.000 véhicules électriques, Autolib'. Les véhicules seront répartis dans 1.000 stations, dont 700 à Paris, le reste en proche banlieue.

L'avènement des véhicules électriques
L'électrique s'impose comme la solution du futur. Les véhicules utilisant cette énergie se multiplient chez les constructeurs. Commercialisées prochainement, la Citroën C-Zero, première citadine 100% électrique du marché français, la Mini E, actuellement expérimentée dans plusieurs villes (Londres, Paris, etc.), ou la Renault Twizy. Cette biplace électrique de 2,3 m de long permettra de rouler sur 100 km avec une seule charge. Commercialisée fin 2011, la Twizy sera disponible en deux versions, l'une pouvant atteindre les 75 km/h, l'autre ne dépassant pas les 45 km/h, et qui peut être utilisée sans permis de conduire.

Création  des "zones d'actions prioritaires pour l'air"
Grand Lyon, Grenoble-Alpes Métropole, Clermont Communauté, Pays d'Aix, Plaine Commune et la ville de Paris ont été retenus pour participer à l'expérimentation de zones d'action prioritaires pour l'air, les ZAPA, fin 2011. Ces nouvelles zones doivent permettre de renforcer la lutte contre la pollution atmosphérique et notamment de réduire les émissions de particules et d'oxydes d'azotes (NOx).
Dans ces "ZAPA", l'accès aux véhicules contribuant le plus à la pollution atmosphérique, à l'image des véhicules diesel ou des 4x4, sera limité, voire interdit. D'autres dispositifs seront étudiés pour permettre de réduire la pollution atmosphérique comme encourager l'acquisition de véhicules moins polluants ou encore optimiser les livraisons de marchandises.( Source relaxnews).

Taiwan : tout pour le sccoter électrique

Taiwan, qui compte environ 10 millions de scooters en circulation, vient d'annoncer un investissement de 1.6 milliards de dollars Taiwanais (27.50 millions d'euros) afin de développer l'usage du deux roues électrique.

Objectif : vendre 160.000 scooters électriques d'ici à 2013.Pour d'information sur le site de l'AVEM.